Je vous retrouve tous les lundis midi dans « midi à l’ouest » pour la chronique psy « ACTIV’ TA BOUSSOLE » sur radio activ’ 101.9 FM dans le pays de St Brieuc ou sur internet  http://www.radio-activ.com/

Vous pouvez me poser vos questions « psy » en laissant un commentaire sous cet article, j’y répondrai à l’antenne durant l’émission

Je vous propose de commencer l’année sur une touche positive : le BONHEUR (2ème partie)

Au programme de la chronique :LA PSYCHOLOGIE NARRATIVE ou comment changer notre discours intérieur

Pour réécouter la chronique c’est ici:

Crée par 2 psychologues australiens :Mikaël White et David Epson dans les années 80

But de la méthode : Changer notre discours intérieur

Dans une situation de vie (un RDV annulé, une rencontre,…) notre cerveau tri les info, les classent. Il s’en fait une histoire, sa propre interprétation de l’événement

Il fait le choix de porter son attention sur le positif ou le négatif = le verre à moitié plein ou à moitié vide. Cela dépend de notre personnalité , de notre histoire familiale actuelle ou passée, notre culture, nos valeurs,…

La pensée négative est plus automatique que la positive, demande moins d’efforts au cerveau.

Exemple : Lors d’un réveil nocturne où on ne se rendort pas, nos pensées vont automatiquement vers du négatif, rarement sur du positif

Il ne tient qu’à nous de transformer ces pensées en souvenirs positifs

Les pensées automatiques

Exemple : un ami ne nous a pas appeler depuis 3 semaines

Je peux me dire :

« j’ai dû faire quelque chose, il m’en veut »

ou « Il a peut être un problème »

ou «  Qu’est ce qu’il se passe ?»…

L’idée est là, d’éviter les pensées négatives automatiques:« j’ai dû faire quelque chose, il m’en veut »

pour les transformer en quelque chose de plus neutre :« qu’est ce qu’il se passe ?»

La comparaison favorable

Pour un même fait, on choisit de se comparer à mieux ou moins bien

Exemple : sur un podium olympique, le médaillé de bronze est souvent plus heureux que le médaillé d’argent. En effet l’argent peut se comparer à l’or et être déçu d’être si prêt du but, alors que le bronze est content d’avoir atteint le podium